" Le son des grillons remplace petit à petit celui de l’opéra que tu aimais tant,
Ton arbre est là, celui que l’on a planté à ta mort.
Mais moi, inexorablement, une hache a la main,
Je fonce, je détruis,
Je plante en plein cœur,
Ton tronc lacéré,
Et l’Opéra reviens.
Ma façon de parler. Ma façon d’exprimer l’inexprimable.
Mais rien, toujours rien.
Inertie de la foule aveugle et secrète solitude.
Peut -on porter plainte contre un mort ? "