Et si on rêvait c’est l’expulsion de ce qui nous obsède, la soif de métamorphose. Ce sont deux corps qui cherchent une issue dans le labyrinthe de leurs habitudes.
Des êtres qui tentent de s'évader – par l’imaginaire, l'enivrement ou le passage à l’acte extrême et irréparable – mais aussi qui se sentent le droit de dire : “soyons créateurs”.
C’est avant tout l’expression du mouvement qui nous anime : du mouvement contenu au mouvement qui surgit, s’amplifie et nous possède. Du mouvement qui se répète, nous envahit, nous obsède, nous soulage.
Sortie de résidence
Etape finale de création ouverte au public ce samedi 12 mai à 18h